En 2024, il est évident que les pays riches sont les plus grands pollueurs de la planète. Les pays pauvres quant à eux, subissent ce phénomène de plein fouet, qui conduit à la sécheresse des terres, la pénurie des denrées alimentaires et l’augmentation des effets néfastes des aléas climatiques.
En effet, Ursula Von Der Leyen, la présidente de la Commission européenne, a déclaré que : «Les grandes économies ont un devoir particulier envers les pays les moins développés et les plus vulnérables».
Ce devoir moral représente une sorte de dette verte dont le but est de remédier à la crise climatique dans les plus brefs délais. Les pays riches peuvent ainsi offrir une assistance en cas de catastrophes naturelles, former et sensibiliser les agriculteurs locaux et soutenir les politiques environnementales des institutions climatiques. Les responsables peuvent ainsi participer à financer la transition énergétique des pays pauvres, tout en favorisant une agriculture plus saine. Une coopération donc plus que nécessaire pour les deux parties prenantes.