Selon une étude publiée dans Science Day ,l’agriculture intensive se développe dans le monde entier. Cependant, ces pratiques peuvent augmenter le risque de nouvelles épidémies, telles que des concentrations élevées d’animaux et une utilisation massive d’antibiotiques, créant ainsi un environnement propice à l’émergence et la propagation rapide de nouvelles épidémies (exemple de la variole du singe Mpox).
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a effectivement estimé qu’environ 75 % des nouvelles maladies infectieuses chez les humains proviennent d’animaux, souvent associées à des pratiques agricoles intensives, et l’utilisation non raisonnée de pesticides. Un rapport britannique adopté par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) estime que d’ici 2050, le nombre de décès mondiaux dus à la résistance aux antibiotiques pourrait atteindre 10 millions chaque année. Également, d’après le rapport de FAO, la production mondiale de viande a été multipliée par cinq depuis les années 1960.
En résumé, pour prévenir de futures épidémies, il est essentiel de reconsidérer ces pratiques en vue de réduire ces risques éventuels tout en garantissant la sécurité alimentaire.